La Comédie humaine

Balzac, 1845 (Édition Fume), 1869-1876 (Édition Lévy)
Omnibus, 1999

Personnages

Volume I
Scènes de la vie privée

La Maison du Chat-qui-pelote

Gobseck

Le Père Goriot

p. 122
Heureuse, elle eût été ravissante : le bonheur est la poésie des femmes, comme la toilette en est le fard.

Le Colonel Chabert

La Messe de l'athée

Scènes de la vie de province

Eugénie Grandet

Les Illusions perdues

Deuxième partie : Un grand homme de province à Paris

p. 685

Une bouteille de vin de Bordeaux, des huîtres d'Ostende, un poisson, une perdrix, un macaroni, des fruits furent le nec plus ultra de ses désirs.

Troisième partie : Les souffrances de l'inventeur

p. 1005
[...] déjà sous Louis XIII l'illustre Guez, plus connu sous le nom de Balzac, s'est fait notre compatriote.

Volume II
Scènes de la vie parisienne

Histoire des Treize

Ferragus

La Duchesse de Langeais

La Fille aux yeux d'or

César Birotteau

Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau, marchand parfumeur, adjoint au maire du deuxième arrondissement de Paris, chevalier de la Légion d'Honneur, etc.

1. César à son apogée

p. 332
Anselme Popinot était petit et pied-bot, infirmité que le hasard a donnée à lord Byron, à Walter Scott, à monsieur de Talleyrand, pour ne pas décourager ceux qui en sont affligés.

La Maison Nucingen

p. 572
[...] l'argent des sots est de droit divin le patrimoine des gens d'esprit.

Spendeurs et Misères des Courtisanes

Volume III
Scènes de la vie parisienne

Facino Cane


Le père Canard : musicien aveugle.

Pierre Grassou


Peintre sans talent.

La Cousine Bette

Le Cousin Pons

p. 442
Fritz Brunner eut le plaisir de voir enterrer sa marâtre dans un de ces charmants cimetières où les Allemands, sous prétexte d'honorer leurs morts, se livrent à leur passion effrénée pour l'horticulture.
p. 478
Les Juifs, les Normands, les Auvergnats et les Savoyards, ces quatre races d'hommes ont les mêmes instincts, ils font fortune par les mêmes moyens.

[...] Toutes ses affaires se traitaient en patois d'Auvergne, dit Charabia.

Une ténébreuse affaire

Scènes de la vie militaire

Les Chouans

Scènes de la vie de campagne

Le Médecin de campagne

p. 118

Pour vivre, aujourd'hui comme autrefois, les gouvernements doivent s'assimiler les hommes forts, en les prenant partout où ils se trouvent, afin de s'en faire des défenseurs, et enlever aux masses les gens d'énergie qui les soulèvent. En offrant à l'ambition publique des chemins à la fois ardus et faciles, ardus aux velléités incomplètes, faciles aux volontés réelles, un État prévient les révolutions que cause la gêne du mouvement ascendant des véritables supériorités vers leur niveau.

p. 120

Or, comme, en supposant table rase, les unités sociales parfaitement égales, les naissances en même proportion, et donnant à chaque famille une même part de terre, vous retrouveriez en peu de temps les irrégularités de fortune actuellement existantes, il résulte de cette vérité flagrante que la supériorité de fortune, de pensée et de pouvoir est un fait à subir, un fait que la masse considèrera toujours comme oppressif, en voyant des privilèges dans les droits le plus justement acquis. [...] les lois seront faites par ceux auxquels elles profitent, car ils doivent avoir l'instinct de leur conservation, et prévoir leurs dangers. Ils sont plus intéressés à la tranquillité de la masse que ne l'est la masse elle-même.

Le Lys dans la vallée

La Peau de chagrin

Le Chef-d'œuvre inconnu

Un drame au bord de la mer

L'Auberge rouge

L'Elixir de longue vie


Marc Girod