de Gabriele D'Annunzio, Trionfo della Morte (1894)
Traduit de l'italien par George Hérelle (1896), Stock, 1994
L'auteur de l'Innocente. À mettre en rapport avec Tchékhov, et Gracq pour la peinture d'un monde qui disparaît. Monterlant aussi. Le personnage principal reste antipathique et un peu pitoyable, mais surtout dans son meurtre final, incompréhensible.
Personnages :
II, 1 p 101
« Voilà une nuit de perdue pour le bonheur !... »
IV La vie nouvelle, 3, p 264
Oreste de Amicis, Messie des Chapelles, 1824-1889
p 293
Dans sa pensée, il lui était nécessaire de suivre ce courant profond, de faire partie de cette sauvage agglomération d'hommes, d'expérimenter le contact matériel avec les couches inférieures de sa race, avec ces couches denses et immuables où les empreintes primitives se conservaient peut-être intactes.
VI L'invincible, 1, p 420
Tristan et Iseult.